10 questions sur la criminalité environnementale : l'exemple italien
Les podcasts de l'ISP - En podcast av Prépa ISP - Onsdagar

Kategorier:
L’écologie est au cœur de tous les débats. Les espèces animales disparaissent ; le problème de traitement des déchets est toujours plus conséquent ; l'eau et le sable manquent… La responsabilité de tous est réelle quant aux conséquences environnementales de nos actions. La criminalité participe également de cet état de fait. La criminalité environnementale est donc depuis quelques années un sujet de préoccupation majeure à l’échelle mondiale et dans l’Union européenne (UE). Il faut dire que cette catégorie de crimes interroge sur nos activités économiques et donc sur le prix environnemental que nous sommes prêts à payer pour sauver notre mode vie. En outre, elle interroge fortement sur le monde que nous laissons aux générations futures. Il semble en outre que la criminalité environnementale existe depuis un certain temps avec des activités en apparence hétérogène : du vol de bois précieux, au trafic de déchets en passant par le trafic d'œuvres d’art. Ces activités sont aujourd’hui regroupées dans la seule catégorie des crimes environnementaux. Le traitement de la criminalité environnementale est une préoccupation italienne depuis près de 50 ans. A ce titre donc l'Italie peut servir d'exemple. Pour l'envisager, nous recevons Fabrice Rizzoli, auteur de “La mafia de A à Z", 162 définitions mafieuses”, co-fondateur du Salon sur L'alerte avec Daniel Ibanez, chercheur associé au Centre Français de Recherche sur le Renseignement et enseignants différents établissements universitaires (Sciences-po Paris, HEIP).